Ses courbes et sa pudeur
Sonnent encore dans mon coeur.
Les bourgies, leurs senteurs
Ont fait disparaitre mes peurs.
Peu à peu, ils sont partis
Mes démons autrefois ressentis.
Magnifique et belle vie
Que je vivais jour et nuit.
Douceur du temps passé
Chaque moments à ses côtés.
Amour pour lui inachevé,
Presque par pudeur caché.
Bonheur entaché au fil des heures,
Fragilité et trop plein de pleurs
Qui ont fait renaitre mes frayeurs.
J'ai voulu effacer mes erreurs
Mais rien y fait, c'est fini.
Je suis seule et pleure dans mon lit.
Reste finallement qu'une envie
Celle de redevenir épanouie.
A quoi bon encore rêver
De vouloir se faire aimer.
Je voudrais tant espérer
De pouvoir tout oublier.
Sonnent encore dans mon coeur.
Les bourgies, leurs senteurs
Ont fait disparaitre mes peurs.
Peu à peu, ils sont partis
Mes démons autrefois ressentis.
Magnifique et belle vie
Que je vivais jour et nuit.
Douceur du temps passé
Chaque moments à ses côtés.
Amour pour lui inachevé,
Presque par pudeur caché.
Bonheur entaché au fil des heures,
Fragilité et trop plein de pleurs
Qui ont fait renaitre mes frayeurs.
J'ai voulu effacer mes erreurs
Mais rien y fait, c'est fini.
Je suis seule et pleure dans mon lit.
Reste finallement qu'une envie
Celle de redevenir épanouie.
A quoi bon encore rêver
De vouloir se faire aimer.
Je voudrais tant espérer
De pouvoir tout oublier.
Emilie Manchon
Poème écrit le 8 et 9 mars 2011
Poème écrit le 8 et 9 mars 2011